utilisation autorisée des LDB ds les taules de rhônes-alpes
émeutes dans une prison néo-zélandaise rendue inutilisable
annonce manif anticra à lyon le 30 janvier
révolte incendiare au cra de mesnil amelot
pas de téléphone et grève de la gamelle à l’AS de Vigevano (Italie)
00.17.58: Introduction (journée internationale de soutien aux personnes trans incarcérées)
00.22.22: La transphobie à l’extérieur (parcours de transition; transphobie au travail/dans la famille/à l’école etc; transmisogynie; pénalisation du TDS)
1.02.38: La transphobie en prison (isolement; prise d’hormones; harcèlement et agressions; témoignage de Ravane)
1.27.39: Le vécu des mecs trans en prison (notamment témoignages de S et N)
1.42.29: Le vécu des meufs trans en prison et appel à solidarité avec Jennifer
Suite à un problème technique de dernière minute, la quatrième émission de Carapatage, qui devait avoir lieu aujourd’hui, est reportée à mercredi prochain.
Dans cette émission, on discutera du confinement, ses mesures, ses conséquences… mais aussi des actes de révolte qui y répondent.
Contre les prisons, la répression et le contrôle, à travers l’actualité de l’enfermement mais aussi son histoire, en racontant les luttes à l’intérieur et à l’extérieur, en échangeant ce qu’on a vu, lu et entendu.
Carapatage est contre les prisons et l’enfermement, les centres de rétention administrative, l’enfermement psychiatrique, les centres éducatifs fermés et l’enfermement des mineurs dans différents centres, le débordement de l’enfermement à l’extérieur par des dispositifs comme le bracelet électronique, le contrôle qui s’exerce dans les foyers de sans-papiers, de l’aide sociale à l’enfance ou à destination des femmes précaires.
La prison est l’aboutissement d’un système répressif et normatif, dans la continuité de la police et de la justice — auxquels on s’oppose aussi —, qui n’existe pas de façon neutre, qui ne s’exerce pas à n’importe quel endroit et sur n’importe qui, mais derrière lesquels il y a des intérêts capitalistes, racistes, néocoloniaux et patriarcaux, entre autres choses. La prison permet de forcer l’acceptation des normes et des lois : elle est la clé de voûte de l’exercice du pouvoir de l’État.